La dernière goutte aime le verbe, les mots, ce qui claque, ce qui fuse, ce qui gifle et qui griffe et qui mord. Les contes cruels, les dialogues acides.
Et les images aussi, irréelles, contrastées,
vénéneuses et absurdes.
La dernière goutte met en selle des rêves éveillés qui hachurent la réalité d’un sentiment d’étrangeté.
Elle défend des textes aux univers forts, grotesques,
bizarres ou sombres.
Les romans et nouvelles qu’elle publie
reflètent la beauté
qui miroite dans l’ombre.
L'affabulateur